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Conseils pour apprendre le Qur'an Aya10
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    Conseils pour apprendre le Qur'an

    الحلاجي محمد
    الحلاجي محمد
    Servo di Allah


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    مُساهمة من طرف الحلاجي محمد الثلاثاء 12 يناير - 18:31:57





    Frère et sœur musulman – nul doute que vous connaissez l'excellence de
    l’apprentissage du Qur’an et l'excellence de son enseignement. Le
    messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wa sallam) a dit : « Le meilleur
    d’entre vous est celui qui apprend le Qur'an et l’enseigne. »







    Voici quelques règles qui vous aideront dans la mémorisation du Qur'an, qu’Allah nous en fasse profiter.











    Première Règle : Al-Ikhlas - (Sincérité)







    La purification de l'intention et sa correction est obligatoire. De
    même, il faut s’en préoccuper et mémoriser le Qur’an pour la Face
    d'Allah, le Sublime et Glorifié et pour obtenir le succès et Son
    Paradis et obtenir Sa satisfaction.



    Aussi l'obtention de cette récompense puissante est réservée à ceux qui
    ont récité le Qur’an et l'ont mémorisé. Allah le Glorifié dit :







    « Adore donc Allah en Lui vouant un culte exclusif. C’est à Allah qu’appartient la religion pure. » [sourate Az-Zumar :2-3]







    « Dis : “Il m'a été ordonné d’adorer Allah en Lui vouant exclusivement le culte » [sourate Az-Zumar :11]







    Et le Messager d'Allah (salallahu ‘alayhi wa sallam) a dit : « Allah le
    Glorifié dit : Je me suffis et Je n’ai besoin d'aucun associé. Ainsi,
    quiconque fait un action pour l'amour de quelqu'un d’autre que Moi,
    verra cette action laissé par Moi à celui avec qui il M’a associé. »
    [Bukhari et Muslim]







    Donc, il n'y a aucune récompense pour celui qui a récité le Qur’an et
    l'a mémorisé pour se montrer et être entendu. Il n'y a aussi aucun
    doute que celui qui a récité le Qur’an par désir de ce monde et en
    recherchant quelque récompense de ce monde est coupable.











    Deuxième Règle : Correction de la prononciation et de la récitation







    Le premier pas dans la mémorisation du Qur’an après al-ikhlas est
    l'obligation de corriger la prononciation du Qur’an. Cela ne vient
    qu’en écoutant un bon lecteur ou un hafidh (personne qui a mémorisé
    tout le Qur’an) précis. Le Qur’an n'est appris qu’en acquérant cela.
    Ainsi, le messager (salallahu ‘alayhi wa sallam) qui est le plus
    éloquent des Arabes dans le discours, l'a pris de Jibril (‘alayhi
    sallam) oralement. Le messager (salallahu ‘alayhi wa sallam) lui-même
    s’employait à réciter le Qur’an (en entier) à Jibril une fois chaque
    année et l'année de sa mort il le lui a récité deux fois. [Rapporté par
    Al-Bukhari]



    De même, le messager l'a appris aux Compagnons (radhiallahu ‘anhum)
    oralement et ceux après eux l'ont entendu des Compagnons et cetera pour
    chaque génération après eux.







    Prendre le Qur’an d'un bon lecteur est obligatoire. De même, corriger
    d’abord la récitation et ne pas dépendre de quelqu’un dans sa
    récitation, même si on connaît la langue arabe et ses principes, est
    aussi obligatoire. Car, dans le Qur’an, il y a beaucoup de verset qui
    viennent d’une manière opposée à ce qui est bien connu dans les règles
    de la langue arabe.











    Troisième Règle : Spécifier une limite quotidienne pour la mémorisation







    Il est nécessaire pour celui qui désire mémoriser le Qur’an qu'il mette
    lui-même une limite quotidienne pour la mémorisation. Un certain nombre
    de verset par exemple, peut-être une page ou deux pages ou même un
    huitième d'un juz (un trentième du Qur’an). Donc il commence, après
    avoir corrigé sa récitation et définit sa limite quotidienne, à
    apprendre par répétition fréquente. Il est aussi nécessaire que cette
    répétition soit faite mélodieusement pour d’une part suivre la sunna et
    d’autre part pour que cette mémorisation soit ferme et forte. La
    récitation mélodieuse est agréable à l’écoute et aide aussi dans la
    mémorisation. En outre, la langue reviendra à un ton spécifique (de
    voix) et suite à cela, il deviendra familier avec n'importe quelle
    erreur chaque fois que l'équilibre dans la récitation et le ton
    familier deviendra désordonné. Le lecteur saura que sa langue ne lui
    obéira pas quand il fait une erreur et que si le ton est faux, sa
    mémorisation lui reviendra.







    Tout ceci, parce que la récitation du Qur’an et l'embellissement avec
    la voix est quelque chose qui a été commandé. Il n'est pas permis de
    s'opposer à cet ordre en raison de la parole du messager (salallahu
    ‘alayhi wa sallam) : « Quiconque n'orne pas le Qur’an (en le récitant
    mélodieusement) n'est pas des nôtres. » [Al-Bukhari]











    Quatrième Règle : Ne pas dépasser sa limite quotidienne jusqu’à avoir perfectionné sa mémorisation.







    Il n'est pas permis à celui qui apprend le Qur’an de passer à une
    nouvelle partie du Qur’an, jusqu’à ce qu'il perfectionne la
    mémorisation de sa limite précédente. Pour que ce qu’il apprend soit
    fermement établi dans son esprit. Il n'y a aucun doute que parmi les
    choses qui facilitent la mémorisation est de réciter ce qu’il a appris
    à chaque heure du jour et de la nuit. En le récitant dans les prières
    silencieuses et s'il est imam, dans les prières à voix haute. Aussi
    dans les prières surérogatoires (nawafil) et dans les temps où on
    attend les prières obligatoires. Par cette méthode, le mémorisation
    deviendra beaucoup aisée. De cette façon il est possible à une personne
    de le pratiquer même s'il est occupé par d'autres choses ou qu’il n’a
    pas de temps spécifique pour mémoriser le Qur’an. Ainsi, la nuit
    n'arrivera pas sans que ces versets soient mémorisés et fermement
    établis dans son esprit. Et si quelque chose l’a occupé, il ne doit pas
    aller à la partie suivante du Qur’an, plutôt il doit continuer le
    deuxième jour sur ce qu’il a commencé le jour d’avant, jusqu’à ce que
    la mémorisation soit perfectionnée.











    Cinquième Règle : Utiliser la même copie (Mushaf) du Qur’an







    Parmi les choses qui facilitent la mémorisation est de se tenir
    fermement à utiliser le même mushaf (copie du Quran) et ne jamais en
    changer. Ceci, parce qu'une personne, pour mémoriser, utilise la vue
    aussi bien que l’ouïe. L’écriture et la forme des versets et leurs
    places dans le mushaf laissent une empreinte dans l’esprit quand ils
    sont récités et regardés fréquemment. Si ce lui qui apprend devait
    changer son mushaf avec lequel il apprend ou s'il apprenait avec
    différentes copies, les versets occuperaient des places différentes et
    l’écriture peut aussi être différente. Cela rend la mémorisation
    difficile pour lui. Donc il est obligatoire pour celui qui apprend le
    Qur’an d’avoir un seul mushaf avec une seule écriture et il ne doit
    jamais le remplacer.











    Sixième Règle : La compréhension est la voie vers la mémorisation







    Parmi les choses qui facilitent énormément le processus de mémorisation
    est de comprendre les versets que l'on a mémorisé et de connaître leur
    rapport et liaison, l’un avec l’autre. C'est pourquoi, il est
    nécessaire de lire le tafsir (exégèse, explication) des versets qu'il
    désire mémoriser et de connaître leur rapport, les uns avec les autres.
    Aussi, de s’en rappeler quand il récite. Cela rend plus facile la
    mémorisation des versets. Ceci dit, il est aussi nécessaire qu'il ne
    dépende pas de la connaissance du sens des versets pour les mémoriser.
    Plutôt la répétition de ces versets doit être la fondation. Cela doit
    être fait jusqu’à ce que la langue puisse réciter les versets même si
    l’esprit est occupé à autre chose que la signification de ces versets.
    C'est le signe que les versets sont fermement établis dans l’esprit.
    Quant à celui qui compte sur le sens seul, alors il oubliera souvent et
    sa récitation sera disjointe, car son esprit est dispersé et occupé à
    d'autres choses. Cela arrive fréquemment, particulièrement quand la
    récitation est longue.











    Septième Règle : Ne pas laisser une sourate complète jusqu’à avoir lié la première partie à la dernière







    Après avoir terminé une sourate du Qur’an, il est préférable de ne pas
    aller vers une autre sourate tant que l’on n’a pas perfectionné sa
    mémorisation et la connexion de sa première partie à sa dernière, au
    point que la langue peut couler dans la récitation du début à la fin.
    Il doit être capable de la réciter sans devoir réfléchir ou rencontrer
    des difficultés dans la mémorisation des versets. Plutôt, la
    mémorisation (et la récitation) de ces versets doit ressembler à de
    l'eau (gracieuse) et il faut réciter ces versets sans hésitation, même
    si l’esprit est occupé à d’autres choses, loin du sens de ces versets.
    Il doit être comme la personne qui récite sourate Al-Fatiha, sans
    difficulté ou sans devoir réfléchir. Cela vient en répétant fréquemment
    ces versets et en les récitant souvent. Cependant le mémorisation de
    chaque sourate du Qur’an ne ressemblera pas à celle de Al-Fatiha, sauf
    exception, mais l'intention et le désir doivent être d’essayer de faire
    ainsi. Donc, il est nécessaire lorsqu’on termine une sourate et qu’elle
    est fermement établie dans l’esprit, que son début est lié à sa fin et
    que celui qui apprend n’aille pas à une autre sourate tant qu’il ne l’a
    pas mémorisé avec précision.











    Huitième Règle : Réciter à d'autres







    Il est nécessaire pour celui qui apprend de ne pas dépendre de lui pour
    sa mémorisation. Plutôt, il doit évaluer sa mémorisation en récitant
    les versets ou sourates à quelqu'un d'autre, ou il doit les réciter en
    suivant le mushaf. Et combien cela serait excellent si la personne
    avait avec lui un hafidh précis (qui évaluerait sa mémorisation). Ceci,
    pour que celui qui apprend prenne conscience qu’il peut être distrait
    ou confus dans sa récitation (sans le savoir). Beaucoup parmi nous qui
    mémorisons une sourate faisons des erreurs et la personne peut ne pas
    s’en rendre compte jusqu’à ce qu’elle regarde dans le mushaf. De plus,
    celui qui apprend peut ne pas réaliser tout seul où il fait une erreur
    dans sa récitation, et ce malgré le fait qu'il récite en utilisant un
    mushaf. Pour cette raison, faire écouter sa récitation du Qur’an est le
    moyen de connaître ses erreurs et d’en être conscient.











    Article tiré du site troid.org



    Extrait du livre Al-Qawa’id adh-Dhahabiya lil-hifdhil-Quran il-Adhim






















































































































































































































      الوقت/التاريخ الآن هو الخميس 9 مايو - 3:43:57